Clignements plus rares, baisse de la perception, difficultés de focalisation… et si vos yeux vous signalaient ce que votre cerveau tente d’ignorer ?
On parle souvent de surcharge mentale ou de burn-out, mais rarement de leurs signaux faibles. Et pourtant, la vision est souvent l’un des premiers canaux d’alerte.
Clignement et dopamine : ce que votre fréquence oculaire dit de vous
Le nombre de clignements par minute n’est pas anodin. Il est corrélé à la dopamine, à la perception du temps, et à notre niveau d’attention. Moins on cligne, plus on est concentré… jusqu’à l’épuisement. Enchaîner les sessions d’écran sans pause, c’est priver son cerveau d’une respiration visuelle essentielle.
Focus visuel et régulation cognitive
Fixer un objet sans cligner peut temporairement renforcer la concentration.
Mais à long terme, cela crée une rigidité du système d’accommodation (focus visuel) et un stress oculaire. Apprendre à alterner vision focale et vision panoramique, comme dans certaines méditations ou pratiques sportives, permet d’éviter cette surcharge.
Quand la vision trahit le corps : des yeux secs à la perte de performance
Yeux secs, maux de tête, baisse d’attention, erreurs de jugement… autant de signaux que la vision fatigue. Et cette fatigue est rarement isolée : elle est le symptôme d’une charge mentale trop élevée. Dans les contextes de haute performance, elle peut être un indicateur précieux pour prévenir la rupture.
Conclusion : La fatigue visuelle, un indicateur clé à intégrer dans tout protocole de performance et de récupération.
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